Présentation de Will Sawyer

Fiche;

• Nom: William Jacob Sawyer (Oops pour le Davis, je savais pas qu'il y en avait un)
  
• Âge: 19 ans
  
• Date de naissance: 30 octobre
  
• Domaine d'étude: Sport
  
• Résidence: Résidence de l'université
  

Physique;

• Il est difficile de se décrire soi-même. Je ne peux pas dire que je suis beau sans paraître pour un véritable vantard… Mais, comme c’est ce que je pense réellement, je ne me gênerais pas. Oui, je suis beau. Je l’avoue. Je me trouve plus beau que la majorité des gens que je rencontre. Mais, moi-même, je n’irais jamais à dire que je suis irrésistible. Ça ferait un peu trop vantard, non?
  Tout d’abord, j’ai les cheveux blonds. D’un blond profond, blond Californien, qui me fait penser à des bananes confites. Le plus souvent, je fais seulement me passer une main dedans le matin, ce qui me donne une allure décoiffée qui fait l’affaire. Sinon, pour les grandes occasions, je mets du gel pour qu’ils tiennent en place. Quoi qu’il en soit, ils sont toujours beaux.
  Mes yeux sont profonds. Je crois que je peux transférer toute la gamme de mes émotions et les faire parvenir à mon interlocuteur. De la tristesse à la joie, de la colère au pardon, tout se joue dans mes yeux. C’est, en somme toute, un énorme cercle noir entouré d’un autre cercle, plus petit, de couleur bleu ciel ou mer des Caraïbes, tout dépend de l’éclairage. Ils sont en forme d’amandes, avec des sourcils blonds en accent circonflexe juste au-dessus.
  J’ai un corps de rêve, je dois l’avouer. Beaucoup de muscles, dus aux durs entrainements de foot, partout sur mon corps. Ma silhouette, haute et forte, en impose, et même si je suis plus petit je pourrais battre la plupart des gars de mon équipe de foot. Je m’entraine tellement que j‘ai des six-packs.
  

Psychologique;

• Je suis quelqu’un qui n’a pas peur de l’inconnu. La preuve : j’ai quitté toute ma vie en Californie pour venir m’installer ici. Quoi qu’il en soit, je vis d’adrénaline et de passions passagères. J’aime les grands espaces, et je ne suis pas quelqu’un qui cherche sans arrêt une bagarre, sans être un hippie peace and love. Je suis quand même amical et extraverti. Ne me cherchez pas la nuit tombée, car je serais dans une fête quelconque, sur le site de l’université. J’ai la vitesse dans l’âme, même si ma vieille rabbit ne dépasse pas les 110 km/heure. Je crois être quelqu’un d’excentrique, un original dans l’âme, en même temps d’être le plus normal du monde quand je suis en présence de quelqu’un d’autre. Quand je veux quelque chose, je n’abandonne pas jusqu’à ce que j’aie ce que je veux. Je suis quelqu’un de fort psychologiquement, et je ne laisse personne me marcher sur les pieds. En résumé, je suis aventureux, amical et extraverti, un peu fêtard sur les bords, original et déterminé. Oui, c’est tout moi…
  

Histoire;

• Je suis né à Santa Barbara, en Californie. Ma mère était une avocate réputée. Mon père, je ne l’ai jamais connu. Ma mère dit que c’est un acteur de Hollywood, mais elle n’a jamais voulu me divulguer son nom. Elle disait qu’elle ne voulait pas que j’aille le voir. Chaque fois que je lui en parlait, elle s’enfuyait en pleurant dans sa chambre. Quoi qu’il en soit, même avec l’absence de mon père, j’ai été un enfant normal. Ma mère s’est remariée quand j’avais quatre ans (Il parait que j’étais hyper-mignon en smoking) avec un gars qui l’a rendue heureuse. Henry. Un ans plus tard, ils ont eu un enfant nommé Brittany. C’est à ce moment que les choses se sont mises à se détériorer. Henry m’ignorait et faisait tout ce que Brittany voulait, tant et si bien qu’elle se transforma en une espèce de petite princesse peste. Avant, ma mère m’avait construite une cabane dans la forêt en arrière de la villa. Durant toute ma jeunesse, je me sauvais là quand la vie à la maison devenait trop insupportable. Ma mère savait où me trouver, et elle venait alors me trouver. Elle ne parlait pas, moi non plus. Seule elle sait que seul le silence me calmait. Puis, j’ai grandi, et j’ai compris que ça ne servait à rien, sauf à montrer que j’étais faible. J’ai alors commencé à crier après Henry. Je ne l’aimais décidément pas. Mais il rendait ma mère heureuse, alors j’essayais de me contrôler. Cette date concorde avec celle où j’ai commencé le football. Je jouais pour l’équipe de l’école, à la position de quart-arrière. Je devins alors populaire, je goutai pour la première fois au plaisir d’être au centre des ragots. L’anonymat ne me faisait pas bien. Puis, quelques années plus tard, je suis rentrée à l’école secondaire. Une nouvelle réputation à faire. Je devins vite la vedette de l’équipe de foot et même les terminales démontraient un certain respect pour moi. La situation avec Henry s’était arrangée. Tout allait pour le mieux, c’était surement la période de ma vie la plus heureuse. Mais… Tout le bonheur du monde n’empêche pas le malheur de s’abattre sur quelqu’un. Brittany est morte. Elle avait quatorze ans. Elle se promenait dans la rue avec ses copines (Quel est le but de se promener en plein milieu de la rue?) quand elles ont été renversées par une auto conduite par un gars soul. Elles se sont toutes retrouvées à l’hôpital, et seule Brittany est morte. On pourrait se demander : Pourquoi? Mais on pourrait aussi simplement accepter. Accepter, mais pas pardonner. Ne jamais pardonner d’avoir gâché la période de ma vie la plus heureuse. J’aurais préféré être là, devant cette voiture, à sa place. Henry était si dévasté! Ma mère l’était tout autant. Puis, comme mon choix d’université approchait à grands pas, et j’ai posé ma candidature à plusieurs universités de l’ivy league, mais sans espoirs aucun d’être accepté. C’est avec surprise que je reçu, quelques semaines plus tard, des lettres de trois d’entre eux. Dont Harvard. Étonné, j’acceptai tout de même l’offre. Ils me voulaient dans leur équipe de football. Et j’étais heureux de quitter la Californie. Parce que la tombe de Brittany m’hantait…
  

Mais encore...

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